Quand le magasin Caséo de Pontchâteau choisit Alan pour protéger le pouvoir d’achat de ses collaborateurs

Industrie
Commerce de gros et négoce

Taille
38 employés

Rapidement, Aurélie Le Mené se rend compte qu’Alan est plus que ça. Elle nous explique comment, grâce à sa bonne couverture et ses remboursements express, elle l’utilise désormais comme argument de recrutement et de fidélisation de ses talents.

Bonjour Aurélie ! Chez Alan, on aime connaître nos clients. Pourriez-vous parler un peu de vous et de votre entreprise Caséo ?

Aurélie Le Mené, Directrice de magasin Caséo : J’ai créé une entreprise de menuiserie avec mon mari, en 2005. Trois ans plus tard, nous avons été la deuxième enseigne à rejoindre Caséo, un réseau de magasins familiaux, spécialisés dans les fenêtres, portes, portails et cuisines. Face à l’évolution du marché, l’idée était de mutualiser nos savoir-faire et de se faire aider par le réseau, principalement dans nos négociations auprès des fournisseurs et la communication. Aujourd'hui, nous sommes 38 collaborateurs au sein du magasin, et le réseau compte plus de 90 points de ventes en France. Pour autant, les valeurs familiales n’ont pas changé : la proximité, l’esprit d’équipe et l’authenticité. Le réseau a vraiment une âme et c’est ce qui fait sa force.

Quels sont les enjeux de Caséo pour l’année 2023 ? 

A.L : Notre objectif principal est de développer le nombre d’adhérents, pour peser davantage dans les négociations commerciales, mais aussi de résister à la crise économique que nous traversons tous. Notre secteur n’y échappe pas et notre marché se rétrécit. Mais, pour survivre et même gagner des parts de marché quand le gâteau est de moins en moins gros, il faut avoir les bonnes armes : les bons produits et, évidemment, les bons talents pour les utiliser et les vendre. Nous devons donc aussi travailler sur le recrutement et la fidélisation de nos équipes.

Pour ces deux enjeux RH, qu’avez-vous mis en place ? 

A.L : Caséo a beaucoup travaillé sur la marque employeur. Le groupe a notamment développé la plateforme Werecruit, sur laquelle toutes nos offres d’emploi sont publiées, et où les candidats peuvent nous découvrir grâce à la présentation vidéo de nos salariés. On essaye aussi, dès que possible, de protéger le pouvoir d’achat de nos salariés, en les augmentant dès que possible et en mettant en place un bon partenaire santé comme Alan. C’est un argument qui permet de fidéliser nos équipes.

Qu’est-ce qui vous a convaincue de rejoindre Alan ? 

A.L : Ce qui m’a surtout motivée à changer, c’est l’insatisfaction de mon précédent partenaire santé. Il y avait un problème de service et d’organisation, tant pour les salariés que pour moi, du point de vue administratif. Et puis, un jour, ma gestionnaire de paye m’a parlé d’Alan. Dans la foulée, d’autres personnes aussi m’en ont parlé : ils vantaient la facilité d’utilisation et la transparence. C’était exactement ce que je cherchais. 

Pourquoi la gestion de la couverture santé était compliquée avant votre passage sur Alan ?

A.L : Il y avait énormément de paperasse. On souffrait d’un manque de visibilité sur les adhésions et les affiliations. Par exemple, il y a eu un jour un bug informatique qui a interrompu certaines couvertures santé de nos salariés. Mais, nous n’avons jamais été prévenus… Ce sont les collaborateurs qui s’en sont rendus compte quand ils n’étaient plus remboursés de leurs frais de santé ! C’était très délicat à gérer.

Qu’est-ce qui est devenu plus facile pour vous depuis que vous êtes chez Alan ?

A.L : Au-delà du fait que la transition sur Alan a été extrêmement rapide, aujourd’hui,  tout est beaucoup plus simple du point de vue administratif. Je vois qui est couvert et qui n’est pas couvert immédiatement, en temps réel. Je peux gérer les adhésions très rapidement. Par exemple, quand l’un de mes collaborateurs est parti, récemment, j’ai pu résilier sa couverture en deux clics. Clairement, quand tout roule avec un partenaire santé, c’est une charge mentale en moins pour un dirigeant.

Du côté de vos équipes, que pensent-ils d’Alan  ? 

A.L : Les retours sont très positifs ! La transition s’est faite hyper facilement, en quelques minutes. Quant au fonctionnement d’Alan, ils en sont très contents. Il y a quelques jours, l’une de mes collaboratrices me racontait qu’elle trouvait la plateforme très facile à utiliser. Elle avait obtenu un devis rapidement pour un soin et elle avait été bien remboursée. J’ai aussi eu de bons retours sur la Clinique Alan. Le chat avec un professionnel de santé, hyper rapidement, quand on a un souci ou une crainte, évite de se déplacer ou d’attendre des semaines pour avoir un rendez-vous avec un professionnel de santé. Je l’ai moi-même utilisée et ça m’a vraiment rassurée. 

Sur quels nouveaux enjeux Alan vous accompagne par rapport à votre ancien partenaire santé ?"

A.L :  Sur deux sujets surtout. D’abord, la santé mentale. Avec tous les services dédiés au bien-être mental à notre disposition sur l’application, je peux aider mes collaborateurs sur cet aspect-là.  Dans la conjoncture économique et sociale actuelle, c’est rassurant, en tant que directrice, d’être accompagnée par Alan sur ces sujets encore tabous. L’autre grand enjeu concerne la mixité de nos équipes, dans un secteur encore très masculin, malheureusement. Je pense qu’Alan est une mutuelle qui aide particulièrement les femmes, grâce à la consultation gratuite de spécialistes, y compris sur des problématiques féminines ciblées comme l’endométriose. C’est donc un argument en plus lors des recrutements.