D’HEC et l'ENSAE à Alan : itinéraire d'un actuaire santé

Tout commence avec mon double diplôme à HEC et à l'ENSAE, où je me suis spécialisé en actuariat. J'aimais l'idée de combiner les mathématiques appliquées avec des enjeux économiques et sociaux concrets.

Pendant mes études, j'ai eu l'opportunité de faire un stage chez +Simple, une start-up dans l'assurance — et là, ça a été la révélation ! J'ai découvert un secteur en pleine évolution, avec énormément de place pour innover. C'était le début de ma carrière dans le monde de l’assurance ! Après ce stage, j'ai rejoint AXA où je suis resté plusieurs années, avant d'avoir envie de nouveaux défis.

Chez AXA, j'ai beaucoup appris et évolué, mais je voulais retrouver l'agilité et l'esprit entrepreneurial que j'avais pu connaître dans mon premier stage. À ce moment-là j'avais déjà entendu parler d'Alan, de leur approche “nouvelle” de l'assurance santé, et j’en avais une image plutôt positive. Quand ils m'ont contacté, je n’ai pas hésité longtemps avant de me lancer dans le processus de recrutement !

C’est ce processus qui a justement été une étape clé : c’est à ce moment-là que je me suis réellement rendu compte des spécificités culturelles hyper marquantes dont j’avais entendu parler jusqu’ici. L'équipe avait une énergie et une ambition contagieuses. Moi qui avais déjà un a priori positif en entrant dans le processus de recrutement, à la fin de celui-ci je n’avais plus aucun doute : c’est chez Alan que je voulais continuer ma carrière d’actuaire !

(Pour en savoir plus sur la culture d’entreprise chez Alan, c’est par ici !)

Oui, la diversité des projets c’est l’un des grands atouts d'Alan. En fait, au quotidien, on est encouragé à explorer des problématiques diverses, aussi bien business que techniques. Par exemple, j’ai travaillé sur la refonte de notre moteur de tarification, un projet au croisement de l'actuariat, de la data et de la tech. Mais j'ai aussi pu mettre un pied dans le commercial, en contribuant à l'acquisition et au renouvellement de grands comptes. Sans oublier mon incursion dans le développement produit, avec par exemple la création d'une nouvelle offre pour nos membres retraités !

Cette variété de missions est extrêmement stimulante. En comparaison à d’autres entreprises plus “classiques” du monde de l’assurance, la diversité des missions chez Alan est, je pense, inégalée.

C'est une chance assez unique de pouvoir travailler sur autant de facettes d'une entreprise en pleine croissance. On comprend beaucoup mieux comment chaque pièce du puzzle contribue à créer de la valeur et personnellement ça m’a permis d'affiner ma compréhension des attentes et des comportements des clients, au-delà des modèles actuariels. C'est une formidable école pour aiguiser son sens stratégique et développer son leadership !

J'ai bien entendu continué à progresser sur les aspects techniques assurantiels. Mais j'ai aussi beaucoup appris en gestion de projet, en travaillant avec des équipes pluridisciplinaires. J'ai également pu renforcer mes compétences commerciales et relationnelles, au contact des équipes de vente et de gestion. Et puis j’aime beaucoup voir de l'intérieur comment se construit un produit digital, en collaborant avec les équipes produit et tech.

En tant qu’expert assurance, monter en compétence sur ces divers sujets me permet aujourd’hui d’avoir une compréhension transversale des enjeux auxquels Alan fait face. Et c’est réellement un cercle vertueux : plus j’apprends, plus je gagne en impact et en pertinence dans mon métier, ce qui me permet de grandir continuellement dans mon rôle !

L'assurance santé est un secteur à la fois complexe et très concret. On touche directement à la vie et à la santé des gens. Il concentre de nombreux enjeux de société : la prévention, l'accès aux soins, la maîtrise des coûts... Avec les évolutions technologiques et réglementaires, il y a beaucoup à faire pour réinventer l'expérience des assurés et optimiser toute la chaîne de valeur.

C'est évidemment le terrain de jeu idéal pour des profils techniques d’actuaires mais aussi pour des profils plus généralistes. Travailler dans le secteur de l’assurance santé, et encore plus dans le cas d’Alan, ça permet de mettre ses compétences au service d'une cause utile.

Et cette diversité des profils je la vois au quotidien. Elle est encouragée par notre culture du “we hire people, not role” et c’est une véritable richesse : elle permet de croiser les perspectives, de bousculer les idées reçues. C’est un véritable atout pour notre capacité collective à innover !

La culture d'Alan est résolument orientée vers l'impact et “l'empowerment”. Chacun est encouragé à prendre des initiatives, à expérimenter, quitte à se tromper et à en tirer des enseignements. La hiérarchie est très plate, la communication directe et transparente. On évite au maximum les silos d’équipes qui ne se parlent jamais, la norme ce sont les projets transverses.

Et le plus impressionnant, c'est qu'on a su garder cette agilité et cette proximité avec le terrain tout en mettant en place des processus robustes pour gérer notre croissance exponentielle. On sent que nos membres assurés et nos entreprises clientes sont toujours au cœur des décisions et ça, d'un point de vue personnel, c'est quelque chose auquel je tiens beaucoup.

Je lui dirais de foncer ! Certes, l'assurance santé peut sembler un peu obscure ou technique de prime abord, mais c'est en réalité une mine d'opportunités pour se développer et créer de la valeur. Dans une entreprise comme Alan, on peut toucher à tous les aspects d'une “scale-up” en hypercroissance, se confronter à des problématiques business, opérationnelles et techniques très variées, et prendre rapidement des responsabilités.

Les possibilités d'évolution sont multiples pour peu que l'on soit curieux et proactif. Alors, n'ayez pas peur de sortir des sentiers battus : les compétences d'un ingénieur ou d'un diplômé d'école de commerce sont précieuses dans ce secteur en pleine transformation !