Dans un secteur particulièrement touché par les difficultés de recrutement et le turn-over comme le tourisme, il est indispensable d’offrir des contreparties aux salariés, pour prendre soin de leur bien-être. C’est ce qu’a fait Snow Group en décidant de rejoindre Alan, pour mieux protéger la santé de ses équipes, mais aussi faciliter la vie des RH de cette multi sociétés, qui jongle chaque saison avec de nombreuses entrées et sorties.
Oriane Albot : Bien sûr ! J’ai fait un bachelor en Ressources Humaines, pour lequel je me suis spécialisée dans la paye. Il s’agissait d’une alternance et j’ai eu la chance d’évoluer dans des grandes structures comme EDF et la SNCF. À la suite de mes études, en juillet 2018, j’ai intégré la société Deep nature, qui propose des expériences en Spas et Thalassos au cœur de lieux prestigieux, en ville, à la montagne ou en bord de mer, en France et à travers le monde. Et puis Deep nature a grandi et a rejoint Snow Group depuis le 15 septembre 2020, qui chapeaute 3 entités différentes : Deep Nature, Cinq Mondes, une marque française de spa et cosmétiques professionnels et Algotherm, une marque de soins du visage et du corps à base d’actifs marins fabriqués en Bretagne.
Le bien-être a pris le dessus sur le salaireOriane Albot, Chargée des Ressources Humaines chez SNOW GROUP
O.A. : Notre groupe a la particularité de rassembler plusieurs sociétés, et notamment des spas. Nous avons deux problèmes RH majeurs, liés à notre secteur d’activité, le tourisme : le recrutement et le turn-over. Nos spas sont souvent situés dans des hôtels, dans lesquels la saisonnalité est forte, un rythme professionnel qui a de plus en plus de mal à attirer les talents. On travaille 365 jours par an… Nous n’avons donc pas beaucoup de week-ends à offrir à nos salariés, ce qui est évidemment une contrainte, particulièrement depuis le COVID et non plus seulement, comme c’était le cas avant, chez les jeunes mamans. Notre population est majoritairement constituée d’esthéticiennes (75 %), presque exclusivement féminine (98 %) et jeune (moyenne d’âge d’environ 28 ans). Nous voyons bien qu’elles n’ont plus les mêmes attentes qu’avant, nous remarquons qu’elles privilégient désormais le bien-être au travail plutôt que le salaire. Je suis convaincue qu’aujourd’hui, les salariés recherchent un certain équilibre entre leur vie personnelle et professionnelle, ils veulent profiter de leurs amis, de leur famille, etc.
O.A. : Nous avons beaucoup d’entrées et de sorties. Par exemple, en intersaison, on gère 10 entrées par mois et 20 sorties. Par comparaison, en été et en hiver, nos saisons hautes, on recrute une centaine de personnes et on enregistre environ 80 départs.
O.A. : Oui, c’est assez compliqué. Avec notre ancienne mutuelle, nous devions gérer les bulletins d’adhésion papier et c’était un peu sport, je ne vous le cache pas ! Quasi systématiquement, il fallait relancer les salariés pour compléter les dossiers, puis entrer toutes les informations sur la plateforme, avant d’attendre la confirmation par mail.
Il nous fallait absolument une mutuelle digitale : c’est l’avenir et c’est tellement plus agileOriane Albot, Chargée des Ressources Humaines chez SNOW GROUP
O.A. : Oui, il nous fallait absolument une mutuelle digitale. Nous savions que c’était définitivement l’avenir et que cela comportait énormément d’avantages : moins de temps, plus de facilité, plus d’agilité. Quant à l’impact sur nos problématiques RH, je peux vous dire que nos équipes sont très contentes et qu’Alan fait partie des avantages que l’on met en avant lors des recrutements !
O.A. : Oui, on s’est rendu compte qu’on était finalement les mieux placés pour savoir ce dont on avait besoin. On ne voulait pas qu’un contrat soit privilégié uniquement parce que la commission était plus avantageuse pour les courtiers. Sans compter qu’on perdait un temps fou à avoir les réponses à nos questions… Alors qu’avec le chat d’Alan, on a une réponse en 3 minutes !
O.A. : Il y en a eu, évidemment, le changement est parfois difficile à accepter et je le comprends ! Mais c’était très minoritaire, seulement 1 ou 2 % de l’entreprise, je dirais. Heureusement, maintenant que tout le monde a appréhendé l’application, je n’ai que des compliments sur Alan et nous sommes très satisfaits.
O.A. : Cela nous permet d’avoir une vue d’ensemble de toutes nos sociétés facilement et rapidement. On n’a pas besoin d’avoir de compte ni de mot de passe pour s’occuper de chaque entité. On peut aussi transférer des salariés sur une autre entité en 2 clics, c’est donc très pratique !
Avec notre ADN centré sur le bien-être, on se retrouve dans ce qu’Alan proposeOriane Albot, Chargée des Ressources Humaines chez SNOW GROUP
O.A. : Ce qui revient souvent dans la bouche des salariés, c’est la satisfaction par rapport à la rapidité du service. Ils me disent : “j’envoie une photo de mes soins et je suis remboursé tout de suite !”. On a aussi de bons retours sur la Clinique Alan, qui est un vrai soutien dès qu’on a une question spécifique. Moi-même, quand j’étais enceinte, ça m’a aidée ! Les trois premiers mois sont délicats, on ne peut en parler à personne… Donc c’est vraiment appréciable d’avoir des réponses claires et rapides auprès d’experts dans cette période parfois complexe.
O.A. : Je dirais simplicité, réactivité, sympathie et bien-être ! Ce sont des valeurs qui donnent envie de recommander vos services à d’autres entreprises. Avec notre ADN, centré sur le bien-être, on se retrouve bien dans toutes les fonctionnalités qu’Alan propose : la Clinique Alan, le haut taux de remboursement et la rapidité des virements. Tous ces avantages participent évidemment au bien-être de nos salariés !
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