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Alan, une récompense et un levier d’attractivité pour COPAGIR

Alan, une récompense et un levier d’attractivité pour COPAGIR
Avec
Mathieu Martineau
Mathieu MartineauComptable
Mis à jour le
4 septembre 2023
Avec
Mathieu Martineau
Mathieu MartineauComptable
Mis à jour le
4 septembre 2023
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Industrie
Bâtiment
Taille
7 salariés

« Une interface ergonomique, des remboursements rapides et une meilleure couverture pour toute la famille » : voilà ce que Mathieu Martineau voulait offrir à ses collaborateurs, pour leur faire profiter des bons résultats financiers de l’entreprise. Pour ses prestations, sa facilité et sa qualité de service, il a choisi Alan. Il nous explique quel est l’impact de ce choix sur la qualité de vie des collaborateurs et l’attractivité d’un secteur en tension.

Alan : Bonjour Mathieu ! Avant de démarrer l’interview, pourriez-vous nous parler de vous et de COPAGIR ? 

Mathieu Martineau : Je suis comptable de COPAGIR depuis 9 ans maintenant. C’est une petite coopérative d'achats en chauffage de 7 collaborateurs située à Bègles, en Gironde. Mais nous allons fusionner, d’ici un an, avec la COVAP, la coopérative Vendéenne des Artisans Plombiers de 450 artisans plombiers, électriciens et chauffagistes.

La COVAP est, comme nous, membre de l’ORCAB, un réseau professionnel regroupant les coopératives d'achat des artisans du bâtiment (gros œuvre, carrelage, plomberie, sanitaire, chauffage, électricité, bois,…). COPAGIR est une jeune entreprise, elle a été créée il y a seulement 12 ans.

Elle est donc en plein développement, mais elle garde un ADN très familial qui, je crois, plaît aux salariés, car nous avons très peu de turn-over.

J’ai pris Alan car je voulais récompenser mon équipe pour nos bons résultats financiers.
Mathieu Martineau, comptable chez COPAGIR

Alan : Quels sont les principaux enjeux de votre entreprise actuellement ? 

M.M. : C’est évidemment la fusion à venir et la croissance de l’entreprise, pour continuer sur la belle année que nous avons eue. C’est précisément la raison pour laquelle j’ai voulu passer chez Alan. Dans la mesure où la situation financière de l’entreprise s’arrangeait, je voulais en faire profiter mes collaborateurs en leur offrant une meilleure mutuelle.

Je sais aussi qu’Alan est un bon argument d’attractivité pour les recrutements à venir, même si je ne serai plus aux commandes des RH. L’ORCAB souffre, comme beaucoup d’autres secteurs, d’une pénurie de talents.

ORCAB

Alan : Selon vous, quels sont les leviers pour améliorer l’attractivité ?

M.M. : La direction de l’ORCAB a bien conscience du problème et elle a fait énormément d’efforts pour améliorer la qualité de vie au travail des salariés : ils ont construit un super réfectoire avec espace détente et baby-foot, ils ont installé Steeple, un réseau social interne pour que les collaborateurs échangent entre eux.

En tant que recruteurs, on se doit de prouver aux candidats qu’ils seront mieux chez nous que dans les grandes villes d’à côté, comme Nantes ou Bordeaux et cela passe évidemment par une bonne mutuelle comme Alan. D’ailleurs, je pense que c’est un argument de bien-être et de qualité de vie, car c’est plus simple à utiliser et que le service client est très accessible. C’est donc beaucoup moins prise de tête !

Alan peut être un argument de bien-être et de qualité de vie, dans un secteur qui a du mal à recruter.
Mathieu Martineau, comptable chez COPAGIR

Alan : Pourquoi Alan plutôt qu’une autre mutuelle ?

M.M. : Le choix ne m’a pas pris trop de temps ! J’ai comparé les niveaux de garanties et les prix et j’ai fait valider mon choix par mon équipe. Il était hors de question d’aller dans une usine à gaz avec 10 niveaux de garanties ! Et j’ai éliminé tout de suite celles dont les conseillers ne me rappelaient pas… Ce qui n’a pas été le cas d’Alan, qui offrait aussi de meilleures garanties, à des cotisations moins élevées. Les économies de l’entreprise m’ont même permis d’augmenter le taux de participation employeur !

Et puis Alan propose des packs enfants et le fait de pouvoir rajouter un deuxième ou un troisième enfant sans coût supplémentaire est un avantage énorme pour les salariés, certains me l’ont dit.  

Le logiciel employeur est super simple et l’application utilisateur est top !
Mathieu Martineau, comptable chez COPAGIR

Alan : Comment s’est déroulée la transition entre votre ancien prestataire et Alan ?

M.M. : Bon, soyons honnêtes, au tout début, j’ai d’abord rappelé l’équipe Alan pour faire la première inscription ensemble… mais j’avoue que j’aurais pu trouver les infos sur la FAQ ou sur le site (rires) ! En réalité, le logiciel pour l’employeur est super simple, on comprend très facilement comment ça fonctionne. L’avantage, c’est qu’on doit renseigner très peu d’informations côté employeur: mail et date d’arrivée et hop, Alan s’occupe d’envoyer automatiquement l’invitation au salarié, et même de les relancer s’ils n’ont pas encore activé leur compte. On reçoit même des messages d’alerte quand les salariés ne s’inscrivent pas… Grâce à ce système, j’ai d’ailleurs pu valider moi-même l’inscription d’un salarié qui n’était plus du tout couvert par la sécurité sociale, pour être certain de le protéger ! Tout ça simplifie énormément mon quotidien, c’est vraiment agréable.

Alan : Et après quelques mois d’utilisation, quel est le verdict des équipes ? 

M.M. : L’application pour l’utilisateur est top ! On la télécharge très facilement, elle est ergonomique, pratique et simple. Les collaborateurs disent qu’ils reçoivent très rapidement les remboursements et on apprécie tous le fait d’être prévenus instantanément du remboursement, plutôt que de calculer ce qu’on doit avancer et de devoir aller vérifier sur notre compte bancaire.

Par exemple, mes enfants ont eu besoin de soins d’orthodontie et lorsque j’ai demandé des devis, j’ai reçu des réponses sur les niveaux de remboursements en 48h ou 72h maximum ! L’autre intérêt, c’est la possibilité d’obtenir des téléconsultations avec l’application Livi.

C’est une énorme avancée pour le système de santé. Ici, on a un super médecin, mais le premier rendez-vous n’est jamais disponible avant 15 jours ! Et même SOS médecin n’est pas toujours réactif. Ce service évite un stress inutile, c’est vraiment de la charge mentale en moins et on se sent plus rassuré d’avoir toujours un conseil médical à disposition rapidement.

Publié le 08/07/2022

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