Chez les Leclerc Péronne et Dunkerque, le bien-être comme facteur clé d’attractivité
Avec des habitudes de consommation qui changent - des courses et des livraisons plus rapides, le succès du drive, le click-and-collect, etc. – les salariés de la grande et moyenne surface (GMS) attendent des mesures adaptées. Pour savoir comment certains magasins répondent à cette demande, nous avons invité Olivier Michel, DAF du Leclerc de Dunkerque, et Pauline Mondot, RH du Leclerc à Péronne, tous deux membres Alan depuis janvier 2022.
Des métiers de la GMS en évolution
Face à l’accélération de l’innovation dans la grande distribution et des besoins des consommateurs, les métiers doivent s’adapter. En parallèle, les changements qui s’opèrent se retrouvent aussi dans les attentes de salariés en matière de qualité de vie et de bien-être au travail.
Ainsi, selon une enquête Harris Interactive et Alan en 2022, 91 % des Français considèrent que les difficultés psychologiques sont de plus en plus répandues au travail. Dans le même temps, 71 % considèrent que c’est le rôle de l’employeur de veiller au bien-être des salariés. Ce qui est, rappelons-le, une obligation légale.
Loin de s’appuyer sur de simples avantages matériels, il s’agit d’améliorer véritablement le quotidien professionnel pour se sentir serein et, par conséquent, de rester plus longtemps dans l’entreprise. Ces avancées sont fondamentales, alors que les difficultés de recrutement et le turnover dans le secteur sont un enjeu pour tous les magasins. C’est ce que souligne Olivier : « Les horaires compliqués font partie des freins au recrutement ». Pour Pauline, le constat est le même : « Même sur des profils pas forcément techniques, les métiers ne sont plus considérés comme attractifs. Nous cherchons donc à proposer de nouveaux avantages ».
👉 Rappelons à cet égard que parmi les outils qui permettent aujourd’hui la création de plannings plus adaptés, il existe Skello. Cette solution est en outre reliée aux conventions collectives des différents secteurs d’activité, dont celui de la grande distribution.
Des actions concrètes qui portent leurs fruits
Comme dans les entreprises qui ont obtenu le label “Great Place To Work”, telles que le Super U de Mamers dans la Sarthe, ou encore la SCA Ouest du réseau Leclerc, c’est avant tout le bien-être et la reconnaissance du travail des équipes qui comptent dans leur engagement.
Cette prise de conscience s’inscrit dans les actions qui visent notamment à soigner l’arrivée des nouvelles recrues. Et cela, dans un secteur en tension qui doit le plus souvent recruter dans l’urgence sans onboarding dédié.
👉 Olivier a trouvé une solution qui répond à ces deux besoins via l’outil Steeple : « *Un écran en salle de pause présente chaque nouvel entrant en CDI, ce qui donne la possibilité à ses collègues de mettre rapidement un nom sur un visage *».
Pauline s’inscrit dans un même objectif : « Nous sommes en train de bâtir des__ parcours d’intégration__ pour les étudiants qui nous rejoignent. Nous les invitons à une réunion d’accueil et nous leur proposons de visiter les locaux lors de leur prise de poste ».
A cela s’ajoute de la formation continue : « *Nous proposons des formations en e-learning par le biais de modules rapides (15 à 20 minutes) et intuitifs qu’ils peuvent suivre à la fin de leur poste. Ils adhèrent bien à ce type d’initiatives *» explique-t-elle.
Le sentiment d’appartenance à l’entreprise devient possible aussi avec du feedback inversé, et du management bienveillant. Pour Olivier, cela se traduit dans les sondages réguliers qu’il propose sur Steeple pour impliquer ses équipes. La cohésion s’invite aussi dans des moments de fêtes, comme en fin d’année ou les équipes du Leclerc Péronne organisent des concours et des flashmobs. Pauline y voit un «* moyen de favoriser la cohésion dans la bonne humeur.* »
La santé des équipes est indispensable pour la grande distribution
La santé physique et le bien-être mental supposent la mise en place d’audits sur les risques psychosociaux, notamment les TMS (troubles musculosquelettiques), courants dans le secteur GMS.
Pauline explique « qu’en plus d’un accompagnement de la Carsat (Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail) pour prévenir les accidents et les maladies professionnelles, nous avons fait intervenir une ergonome (au stand charcuterie) afin d’identifier les gestes et les postures, puis nous avons constitué un groupe de travail pour en discuter. Cela a mené à la création d’un plan de prévention et le financement de nouveaux matériels adaptés».
Dans les hypermarchés et les supermarchés, les salles de repos ont par exemple un rôle important à jouer tant le bruit, la lumière et les clients (pas toujours bienveillants) peuvent générer de la fatigue et de la nervosité. Olivier précise : «* Nous avons agrandi notre salle de pause, l’avons rendue plus agréable et cosy, notamment avec un parquet silencieux.*»
En parallèle, il ne suffit pas d’être attentif au bien-être des salariés, il faut également leur garantir un accès simple et rapide à la santé avec un partenaire qui les accompagne, tel que Alan. En effet, avoir des salariés en bonne santé est indispensable pour la performance de l’entreprise,ce n’est pas un bonus mais un lien de cause à effet.
D’une manière générale, la prévention est essentielle car elle évite des problématiques futures qui coûtent plus cher à l’entreprise. Des salariés de la grande distribution qui se sentent soutenus dans toutes les situations voient diminuer leur charge mentale, surtout quand les processus de remboursement ou d’accès à des professionnels de santé sont intuitifs et simples. C’est ce que propose Alan avec sa solution de partenaire santé 360° : assurance santé, clinique virtuelle et accompagnement sur le bien-être mental.
Pauline apprécie « *un véritable accompagnement pour les salariés. Avec le support je peux les orienter vers le chat. C’est beaucoup moins chronophage pour moi et pour eux, ce sont des retours rapides et une qualité de service *».
Puisque tout est dématérialisé, cela entraîne une charge de travail moindre : « Chaque jour, Alan nous offre un gain de temps pour les inscriptions car tout est géré par la plateforme. La transition a été facile et, malgré certaines résistances de départ face au tout digital, tout le monde est à l’aise aujourd’hui » se félicite-t-elle. Tout comme Olivier : « Le gain de temps, la simplicité… Nous avions besoin de dépoussiérer tout cela et d’avoir moins de paperasse à gérer. J’ai fait un sondage avec Steeple, les avis sont unanimes ! »
La question du bien-être dans son ensemble est ainsi un véritable vecteur d’engagement dans la grande distribution et aussi de sérénité pour les employeurs et leur service RH !
Retrouvez le replay complet du webinar ci dessous :
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