Chez Alan, on croit en la responsabilité individuelle. Nous sommes tous des adultes responsables et nous nous faisons confiance : chacun est là pour faire les meilleurs choix possibles pour l’entreprise.
Nous sommes tous différents. Certains ont de jeunes enfants et doivent adapter leurs horaires. D’autres sont plus efficaces en fin d’après-midi et préfèrent commencer leur journée plus tard. On pense que chaque Alaner est en position de gérer sa propre organisation.
Ce raisonnement nous a poussés à établir une culture de l’asynchrone, où chacun peut organiser son temps. Concrètement, cela implique de passer par l’écrit, et d’arrêter les réunions, qui sont un symbole du synchrone (adieu les standup de 9h du matin !).
Notre organisation et notre culture d’entreprise libèrent nos employés de la contrainte temporelle. En somme, chacun travaille quand il le souhaite !
Pour aller plus loin, en réaction à la crise du Covid-19, nous avons décidé de nous focaliser sur la liberté spatiale de nos employés. Ils peuvent ainsi désormais travailler non seulement au moment où ils le souhaitent,mais également du lieu qui leur convient le mieux, tant que cela ne contraint pas la collaboration et respecte certaines règles. Nous évoquons les 3 principes que nous avons mis en place, plus bas.
Très rapidement au cours de notre histoire, nous avons accepté le travail à distance. L’Alaner n°4 a fait, pour raisons familiales, toute sa première année depuis Bruxelles. Cela dit, nous gardions une préférence pour le travail au bureau.
La crise du Covid-19 nous a tous imposé le travail depuis chez soi. En ligne avec le #RestezChezVous, Alan n’a pas coupé à la règle. Nous avons même décrété la fermeture des bureaux avant que ce ne soit requis par le gouvernement.
Alors que de nombreuses entreprises ont dû s’adapter, parfois coûteusement, à ce nouveau paradigme, chez Alan, nous avons observé que notre manière de fonctionner n’avait changé que marginalement. Notre productivité a même sensiblement augmenté (exception faite des parents ayant perdu leurs solutions de garde.... moi y compris).
Notre fonctionnement étant entièrement basé sur le travail asynchrone, écrit et en ligne, on ne constate finalement aucune différence d’impact entre quelqu’un qui travaille de chez soi et quelqu'un qui vient au bureau.
De manière anecdotique, il se passe parfois des semaines sans que je ne voie mon cofondateur Jean-Charles Samuelian. Pourtant nous collaborons sur des dizaines de décisions, et nous travaillons dans les mêmes bureaux !
Ces éléments nous ont poussés à nous rendre à l’évidence :__ nous avons tout en main pour nous libérer spatialement, et chacun doit pouvoir travailler d’où il le souhaite.__
Beaucoup d’entreprises, notamment dans la tech (Twitter, Facebook, Google, Spotify), ont prolongé la fermeture de leurs bureaux jusqu’en 2021, permettant ainsi à leurs employés de pouvoir travailler de chez eux.
Nous n’allons pas fermer nos bureaux ; au contraire, c’est un mode de travail que nous trouvons positif. C’est un endroit où des collègues peuvent se retrouver. Nous ne comptons pas nous transformer en entreprise qui imposerait le travail à distance.
Notre idéal de liberté et de responsabilité implique de proposer ce choix aux Alaners.
Ainsi, les Alaners pourront:
En dehors de ces règles générales, une bonne connexion internet est requise afin de pouvoir profiter de cette liberté tout en maintenant de bonnes conditions de travail.
Loin des yeux, loin du coeur ? Une des critiques récurrentes du modèle à distance, c’est qu’on peut se retrouver seul.
Notre réponse est toujours dans l’offre et la responsabilisation. Nous misons sur la fluidité dans les équipes pour s’assurer que chaque personne pourra choisir son environnement (plus bureau, ou bien tous à distance).
Avec des points bi-hebdomadaire avec son coach, des team-drinks à distance, des classes de sports… nous fournissons les outils, et chacun décide comment les utiliser.
À partir du moment où chacun est responsable et suit les règles établies, que les résultats sont là, et que la connectivité est bonne, nous disons : “Travaillez d’où vous voudrez !”