L'inflation médicale se poursuit en 2026 avec une projection de 7% d'augmentation. Cette évolution reflète trois tendances majeures : une consommation de soins en hausse, l’augmentation des coûts de santé, et le désengagement progressif de la Sécurité sociale qui transfère une partie de ses coûts vers les complémentaires santé.
Cette estimation repose sur les tendances actuellement identifiées. Cependant, le déficit persistant de la Sécurité sociale pourrait entraîner de nouvelles mesures réglementaires en 2026, avec des impacts potentiels dès 2027.
On vous explique ces évolutions et comment on adapte les cotisations tout en développant des solutions pour préserver vos budgets.
La hausse de la consommation de santé est une tendance de fond qu'on observe sur de nombreux postes de soins. Cette évolution s'explique principalement par l'augmentation des pathologies chroniques. Selon l'Assurance maladie, ces dernières (comme le diabète, les cancers, les troubles mentaux) représentent 71 % de la croissance des dépenses de santé entre 2015 et 2023.
Les initiatives publiques amplifient également cette tendance. Des dispositifs comme M'T Dents encouragent les visites préventives chez le dentiste, ce qui augmente mécaniquement le nombre de consultations.
Cette évolution a un impact direct : +4 % pour les médicaments et les soins dentaires sur notre portefeuille en 2025 par exemple.
Les coûts de santé augmentent avec l'arrivée de nouveaux soins et médicaments. Par exemple, les verres Miyosmart, conçus pour freiner la myopie chez les enfants, sont pris en charge depuis juin 2025. Nous nous attendons aussi au remboursement des médicaments contre l'obésité (Mounjaro, Wegovy) dès 2026, avec un coût d'environ 300 € par mois.
Dans les deux cas, une partie de ces coûts est à la charge des complémentaires santé.
Face à son déficit de 22 milliards d'euros, la Sécurité sociale transfère progressivement certains coûts vers les complémentaires santé comme Alan.
Par exemple, la Sécurité sociale envisage de modifier la prise en charge de certains patients actuellement en Affection de Longue Durée (ALD). Cette réforme transférerait une partie du coût de leurs soins, aujourd'hui remboursés à 100 % par l'État, vers les complémentaires santé.
Face à ces évolutions, on agit à plusieurs niveaux pour limiter l'impact sur vos budgets.
Pour tous les postes de soins les plus sensibles, on propose des alternatives abordables et de qualité.
On mise également sur la prévention pour maîtriser les dépenses à long terme avec Alan Play. Vos collaborateurs prennent de bonnes habitudes pour leur santé tout en s'amusant, et les utilisateurs actifs font +20 000 pas par mois en moyenne, réduisant les risques de diabète, de maladies cardiovasculaires et de mal de dos.
Ces initiatives concrètes portent leurs fruits : 75 % des collaborateurs couverts par Alan déclarent qu'ils seraient déçus s'ils n'avaient plus Alan, un soutien précieux dans ce contexte médical compliqué.
Enfin, notre investissement dans la lutte contre la fraude avec l'intelligence artificielle nous a permis de faire économiser plus de 4 millions d'euros à nos clients en 2024, soit l'équivalent de 400 000 consultations chez le généraliste.
Dans ce contexte, Alan est le partenaire idéal pour optimiser durablement vos dépenses de santé tout en garantissant à vos équipes le meilleur accès aux soins.
Mis à jour le 23/09/2025
Publié le 24/09/2025
Mis à jour le
23 septembre 2025
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