Attirer les talents dans votre entreprise, c’est bien. Les fidéliser, c’est mieux ! Long et coûteux, le recrutement doit aboutir à créer une relation durable avec le collaborateur. Alors, comment fidéliser les salariés ? Suivez le guide !
De la répercussion sur la marque employeur au coût du recrutement, en passant par l’organisation de l’entreprise, les enjeux de la fidélisation des salariés sont nombreux.
👉 Une foule de raisons peuvent être à l’origine du départ du salarié. Des exemples :
Que l’entreprise soit une TPE ou un grand groupe, un recrutement raté, c’est avant tout un coût financier non négligeable. 💰 L’absentéisme et le désengagement des salariés pèsent sur la productivité de l’entreprise. À cette perte de chiffre d’affaires viennent s’ajouter :
On ne parle même pas de l’impact sur la marque employeur,…mais parlons-en quand même. Le turn-over fréquent, le bouche-à-oreille sur l’expérience salarié, un avis négatif sur les réseaux sociaux : tout cela envoie une mauvaise image de l’entreprise aux candidats et entraîne des difficultés à recruter. ❌
Mettre en place une politique de rétention des salariés permet à l’entreprise de :
Alors, comment on s’y prend pour retenir les salariés ?
La meilleure recette reste de :
Après, il suffit de concevoir sa stratégie de fidélisation en suivant ces 7 conseils. 👇
Favoriser la qualité de vie au travail, proposer de la formation continue, maintenir une bonne ambiance dans l’équipe : voici tous les leviers à actionner pour fidéliser les collaborateurs.
C’est la base. Il faut que le profil recruté corresponde réellement aux valeurs de l’entreprise et au poste proposé. On s’attache donc à la personnalité du candidat (savoir-être, soft skills) au moins autant qu’à ses diplômes et son expérience (savoir-faire, hard skills).
L’entreprise pense avoir trouvé la perle rare ? Elle doit lui parler dès l’entretien des perspectives de développement de carrière. Et s’en tenir ensuite à ce qui a été promis.
La qualité de vie au travail (QVT) est au cœur des préoccupations des salariés. On ne sort pas cette information de notre manche, mais d’un sondage Toluna de 2019. Pour 73 % des sondés, la QVT est aussi importante que le salaire. Et même, pour 13 %, le bien-être au travail est plus important que le salaire.
Mais c’est quoi, une démarche QVT ? Concrètement, elle repose sur :
La QVT permet de concilier amélioration des conditions de travail des salariés et développement de la performance de l’entreprise. 🤝
Lien incontournable entre l’équipe dirigeante et les salariés, le manager se situe au centre d’une politique de rétention des talents. Des mots d’ordre à retenir ? Agilité 🏃 et bienveillance ! 😊 Le management doit avoir du sens, pour développer le sentiment d’appartenance à l’entreprise.
Le manager doit s’adapter aux différentes personnalités de l’entreprise et laisser une place importante au dialogue. Gestion des conflits, valorisation des réussites, détermination des objectifs à atteindre : un bon manager fait preuve de respect et de la reconnaissance pour fidéliser les salariés.
La montée en compétences et la formation professionnelle constituent une obligation à la charge de l’employeur. On pourrait craindre qu’un salarié formé ne s’en aille chez la concurrence : en fait, c’est plutôt l’inverse qui se produit.
La frustration de ne pas évoluer à son poste peut mener un salarié à quitter l’entreprise. D’où l’intérêt de considérer le développement des compétences comme une opportunité de valoriser les salariés et d’accroître la compétitivité de l’entreprise.
Levier d’attractivité et de fidélisation des salariés, la rémunération témoigne de la reconnaissance accordée à un travail, à l’engagement et aux capacités professionnelles du collaborateur. Comment faire lorsqu’on est une TPE et qu’on ne peut pas aligner le salaire sur celui proposé par les grands groupes ? On pense aux avantages sociaux complémentaires !
Les avantages sociaux peuvent faire la différence dans le recrutement et la fidélisation des salariés. Parmi eux, les Tickets-restaurant, les chèques-cadeaux, une carte de sport… 🏋
Autre avantage social souvent mis de côté : la complémentaire santé. Dès lors qu’il emploie au moins un salarié, l’employeur doit proposer une mutuelle d’entreprise. S’il embauche des cadres, il est aussi tenu de souscrire à leur bénéfice une prévoyance collective.
La politique de protection sociale de l’entreprise montre qu’elle se préoccupe de la santé de ses collaborateurs. Un bon point pour son image ! Plusieurs options s’offrent alors à elle pour fidéliser les salariés :
Le choix de la mutuelle elle-même compte pour beaucoup : si la complémentaire santé est injoignable ou compliquée à utiliser, ce n’est plus un avantage mais un boulet. Les assurances santé nouvelle génération, comme Alan, permettent d’avoir des réponses et des remboursements super rapides, tout en proposant des services complémentaires.
Dernier de notre liste d’outils de fidélisation des salariés : la valorisation. On l’a vu, le manque de reconnaissance peut pousser certains à s’en aller. Proposer un feedback régulier et constructif permet de saluer les petites et les grandes victoires. Et de communiquer.
Les entretiens donnent l’occasion au collaborateur de s’exprimer sur les difficultés qu’il rencontre, de faire des suggestions pour mener à bien le projet… Une bonne manière d’éviter les démissions liées à la frustration, aux conflits et aux malentendus.
Pour exprimer cette reconnaissance et affirmer sa culture d’entreprise, pensez à organiser régulièrement des événements. Déjeuner au restaurant entre collègues, after-work, escape game : vous avez l’embarras du choix. Autant de moments informels qui favorisent l’esprit d’équipe et donnent envie de rester !
25 000 entreprises de toutes tailles, des start-ups aux grandes entreprises, et des milliers d’indépendants font confiance à Alan pour leur protection santé.
Découvrez nos offres pensées pour vous, avec vous.
Le moyen le plus simple de prendre soin de vos salariés tout en respectant vos obligations